Wille-zur-Macht
La volonté de puissance
Mardi 7 septembre 2010 à 20:57
Dimanche 22 août 2010 à 15:37
" Tu dois vivre comme si ce jour était le dernier ".
N'est ce pas là un dicton parfaitement à l'image de notre société moderne ? n'est ce pas un hymne contre la vie ?
Depuis que l'homme est homme, jamais il n'a frôlé de si près un pessimisme aussi extrême. Sous prétexte que " la vie est courte " il faudrait absolument user ce corps qui est le notre jusqu'à ce qu'il soit totalement annihilé ? Se laisser entrainer par la foule imbécile, et se laisser baiser par l'immondice perversité de celle ci ?
" Profiter ". Voilà le maître mot. Cette génération " j'm'en bat les couilles ", vide de pensées et gonflés mornes idéaux, est le miroir de ce que l'homme a de plus primitif et de plus mauvais. Nous sommes rendu à une phase transitoire ou la morale dominante ne corresponds plus à notre mode de vie. Celle ci perdant de sa sanction, ne peut plus contrôler cet animal fou qu'est l'homme.
Il est grand temps de détruire ces idéaux et de passer à une nouvelle étape. Tout détruire pour tout reconstruire à nouveau comme les grands penseurs du siècle dernier l'ont fait avant nous.
" Tu dois vivre cet instant comme s'il était le premier, et cela toute ta vie ".
Voilà un hymne que je veux chanter à tous. Il est temps que l'homme revive. Avec une énergie nouvelle chaque jour, une volonté de croître, d'émancipation, une soif de savoir, d'apprendre, de trahir, de surmonter toute les épreuves et en sortir plus fort. Le but secret du surhomme en tête, tout en sachant qu'il n'existe pas sans pourtant que cela nous décourage.
La volonté de puissance.
N'est ce pas là un dicton parfaitement à l'image de notre société moderne ? n'est ce pas un hymne contre la vie ?
Depuis que l'homme est homme, jamais il n'a frôlé de si près un pessimisme aussi extrême. Sous prétexte que " la vie est courte " il faudrait absolument user ce corps qui est le notre jusqu'à ce qu'il soit totalement annihilé ? Se laisser entrainer par la foule imbécile, et se laisser baiser par l'immondice perversité de celle ci ?
" Profiter ". Voilà le maître mot. Cette génération " j'm'en bat les couilles ", vide de pensées et gonflés mornes idéaux, est le miroir de ce que l'homme a de plus primitif et de plus mauvais. Nous sommes rendu à une phase transitoire ou la morale dominante ne corresponds plus à notre mode de vie. Celle ci perdant de sa sanction, ne peut plus contrôler cet animal fou qu'est l'homme.
Il est grand temps de détruire ces idéaux et de passer à une nouvelle étape. Tout détruire pour tout reconstruire à nouveau comme les grands penseurs du siècle dernier l'ont fait avant nous.
" Tu dois vivre cet instant comme s'il était le premier, et cela toute ta vie ".
Voilà un hymne que je veux chanter à tous. Il est temps que l'homme revive. Avec une énergie nouvelle chaque jour, une volonté de croître, d'émancipation, une soif de savoir, d'apprendre, de trahir, de surmonter toute les épreuves et en sortir plus fort. Le but secret du surhomme en tête, tout en sachant qu'il n'existe pas sans pourtant que cela nous décourage.
La volonté de puissance.
Samedi 21 août 2010 à 15:23
[...] Les symptômes du nihilisme montant, que ce soit au niveau pratique et théorique :
1. Le christianisme succombe à sa propre morale. Les formules " Dieu est amour ", " Dieu est vérité " et cætera montrent un total refoulement de toute pensée objective et de recherche intellectuelle en dehors de cette puissance supérieur. Nietzsche ajoute que la formule " Dieu est mort " est fortement pressentie.
2. Le nihilisme est aussi caractérisé par un dépérissement de l'interprétation morale, la morale étant obsolète ne peut plus bénéficier de sa sanction.
3. Que ce soit sur le plan Religieux ou philosophique, l'idéal du " sage " ou du " saint " tombe en désuétude.
4. Le nihilisme se reflète aussi bien dans les sciences naturelles sous la forme du mécanisme et du causalisme. Les sciences tombent dans le conformisme, s'appuyant sans douter sur les lois déjà en place.
5. " De même en politique : la croyance en son bon droit fait défaut, l'innocence ; le mensonge règne, l'asservissement au moment. " [...]