Saltimbanque, sur un fil de fer tu laisses glisser tes pieds sans que l'abîme ne te fasse effroi. De barbelés en murs d'acier tu ne laisses place qu'à ton désarroi.
Au plus loin le spectacle te mènera,
au plus bas le sol que tu épouseras.
A la chair du vent, ton âme se confondit,
aux ectoplasmes du passé se perds ton esprit.
Souviens toi des lumières et des artifices,
de loin les lueurs de la ville ne sont que jaune-pisse.
Et quand vers dieu tes viscères pourriront,
de ton cadavre le soleil aura raison.
Saltimbanque, sur un fil de fer tu laisses glisser tes pieds sans que l'abîme ne sonne à son heure.
De barbelés en murs d'acier tu ne laisses place qu'à ta peur.
Au plus loin le spectacle te mènera,
au plus bas le sol que tu épouseras.
A la chair du vent, ton âme se confondit,
aux ectoplasmes du passé se perds ton esprit.
Souviens toi des lumières et des artifices,
de loin les lueurs de la ville ne sont que jaune-pisse.
Et quand vers dieu tes viscères pourriront,
de ton cadavre le soleil aura raison.
Saltimbanque, sur un fil de fer tu laisses glisser tes pieds sans que l'abîme ne sonne à son heure.
De barbelés en murs d'acier tu ne laisses place qu'à ta peur.